Elena Paroucheva

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Constructions éthérées

Elena, je vous félicite pour vos efforts afin de transformer les structures industrielles hideux foulée à travers nos paysages, les transformant en constructions décoratives, presque éthérées. Travail merveilleusement imaginative.

Professor Arnold Berleant, Long Island University, USA

CIGRE rapproche le monde et l'art en France

CIGRE (Conseil International des Grands Réseaux Electriques) est une organisation internationale non gouvernementale, sans but lucratif, association fondée en France en 1921. A notre époque, c'est l'une des plus grandes organisations électrique dans le monde avec des membres dans plus de 80 pays.
Des milliers de ces membres se sont réunis au Palais des Congrès à Paris de 25 au 29 août 2008 pour la biennale CIGRE et l'exposition technique.
Des discussions approfondies sur la transmission abondent, bien entendu, mais aussi de réunions et conférences et d'un étage plein de exposants techniques.
Ils ont également présenté une exposition d'œuvres d'art : « Networks into Artworks » d’Elena Paroucheva.
Ses projets visent à souligner la puissance des réseaux et les mettre en valeur, plutôt que de les cacher.
L’avant-goût électrique dans l’art d’Elena Paroucheva, présenté dans la galerie de l’Amphithéâtre Bleu est bien en liaison avec la Session de CIGRE.
Entre les conférences et la galerie colorée de Paroucheva, la Session CIGRE a stimulé le développement intellectuel et les sens créatifs.
  Kathleen DAVIS, senior editor, « T§D » USA

Art, énergie et environnement

Il est arrivé quelque chose de semblable à l'affaire de Tour d’Eiffel, le but principal d’origine est le services sans fil et des signaux radio (et, aujourd'hui, la télévision, le laser et les autres signaux), une solution technologique qui est maintenant symbole esthétique et culturel de la nouvelle ère technologique et la ville de Paris.
Les quatre piliers de transmission électrique d’Amnéville sont une métamorphose artistique. Ils sont devenus des symboles de la santé de la 
ville, et bien plus que cela, le plus grand monument sur nos réalisations technologiques du siècle passé.
Un exploit historique, solution exemple, rôle unique dans l'environnement urbain des structures des réseaux électriques.

Les systèmes d'alimentation et de transfert d’énergie sur de longues distances sont la source d’inspiration et imagination artistique d’Elena Paroucheva qui utilise les dernières technologies et matériaux pour créer ses oeuvres. 
Il n’est pas étonnant qu’avec ses sculptures innovantes Elena Paroucheva s'immisce dans l'histoire l'art et de l'électricité.   
 Journal « HEP Vjesnik » Croatie

Journées Européennes du Patrimoine

L’Office de Tourisme d’Amnéville s’associe aux Journées Européennes du Patrimoine en organisant une visite guidée particulièrement originale intitulée « La haute couture sous haute tension »…
« Républicain Lorraine »
Quatre ans après leur inauguration sur la zone de loisirs d’Amnéville (Moselle), les œuvres aménagées sur la ligne 220.000 volts Amnéville – Montois s’invitent aux « Journées Européennes du Patrimoine »…
« La Dépêche »

Réseaux en œuvres d’art

Les hommes ont semé sur leur passage des constructions utiles, mais indésirables - des pylônes, des antennes, des ponts, des tours. Mon approche plastique de l’Art dans l’Environnement est inspirée par le visible et l’invisible. Le pylône, transporteur d’énergie, est visible, mais l’énergie qui passe dans les câbles est invisible; les antennes sont visibles, mais les ondes radio sont invisibles…
 De cette inspiration, j’ai donné le nom de « Haute Tension » à mes sculptures et mes installations et « Electric Art » à ma voie artistique.
Dans la première étape de la création, je dois oublier que les constructions sont des « géants » métalliques sans penser pour les contraintes mécaniques, électriques, climatiques, techniques… pour laisser libre cours à l’imagination.
Elena Paroucheva, INDIA POWER Magazine, Inde

« Quatre pylônes en habits de lumière »

Artiste plasticienne bulgare, Elena Paroucheva signe une œuvre monumentale  qui puise son inspiration dans la culture locale. Sa symbolique épouse l’histoire de l’acier, creuset de la Lorraine industrielle. Elle célèbre également le mariage providentiel de l’eau et du bien-être, source de jouvence pour l’Amnéville nouvelle… 
Elena compose avec la réalité en jouant sur la transparence, la couleur et la fluidité. Et son interprétation de l’élégance confère à ces lourdes carcasses une incroyable légèreté. Soudain, la métamorphose jaillit en terre imaginaire quatre créatures de rêve enrobées de lumière se concertent pour illuminer l’horizon, comme une pluie d’étoiles.
 Philippe BOSSUS « TERRAIN »

Une artiste à haute tension 

« La Source » d’Elena est une œuvre unique en France. Les Sculptures Haute Tension se métamorphosent en créatures de rêve vêtues de robes illuminées.
Virginie DANIEL – journaliste

INAUGURATION DE LA SOURCE

Des pylônes relookés

Depuis quelques temps, les pylônes qui supportent la ligne 225 000 volts reliant Amnéville et Montois - la-Montagne et qui se trouvent sur le Centre Thermal et Touristique ont subi un relookage complet.

Dans le cadre d’une convention entre la ville d’Amnéville et l’entreprise RTE (Réseau de Transport d'Électricité), ces travaux ont été réalisés grâce à Elena PAROUCHEVA, artiste d’origine bulgare, qui a su mettre en valeur ces structures de 40 mètres de haut installées depuis 1950, une époque où elles demeuraient éloignées de tout.

« La source », nom de cette réalisation, a été inaugurée le Mardi 17 février à la Galerie Crid’Art d’Amnéville en présence de l’artiste.
Anne Weber, ATV

La  fée électrique

L’art dans la rue
Une œuvre singulière,  une entreprise peu ordinaire : apporter élégance et légèreté à d’imposantes carcasses de métal. Défilé de mode pour des géants immobiles. 
Ici la notion de conservation du patrimoine est centrale. Mal perçu par le public, mais symboles d’une époque couronnant l’acier et le béton, ces pylônes sont conservés mais transformés afin d’en garder trace et mémoire. Ils se métamorphosent en créatures de rêve vêtues de robes illuminées alors que leur fratrie est amenée à moyen terme à disparaître du territoire français. Symboles de l’eau,  de l’énergie,  de l’acier.
Les pylônes deviennent le cœur d’une sculpture monumentale.
Une belle surprise que cet insolite et séduisant embellissement d’un patrimoine,  parfois,  à juste titre,  décrié. 
Fabien CORBINAUD, « CIEL »  -  Cercle d’idées pour l’aménagement des espaces libres

Les pylônes électriques en source artistique

Qui l’eut crû ? Un pylône électrique de haute tension peut devenir une œuvre d’art. C’est en tout cas le pari tenté et réussi sur le site thermal d’Amnéville. Les visiteurs peuvent découvrir quatre pylônes qui symbolisent une silhouette. « Source », c’est le nom donné à l’œuvre d’art qui repose sur ces pylônes. Sa création revient à une artiste, Elena Paroucheva, dont le projet a été retenu par RTE (Gestionnaire du Réseau de transport d’électricité) Le projet a été accepté par les communes concernées – Amnéville, Hagondange et Marange-Silvange.
L’aspect artistique est indéniable, une œuvre d’art moderne et unique.
J.P.R. « Républicain Lorraine »

Monumentales et aériennes

Les sculptures d’Elena Paroucheva sont séduisantes, à la fois monumentales et aériennes, elles jouent avec grâce et charme avec le paysage.
Hélène KELMACHTER, Conservateur – Fondation Cartier d’Art Contemporain, Paris

Le triomphe d'Elena sur l'art - scène mondiale

L’artiste bulgare a enchanté l’Europe avec son art « Haute Tension ». Elle se lance dans une voix unique dans l’art – transformer en œuvres d’art des constructions métalliques des lignes de haute tension. Le sommet dans son projet est la « Source », installation monumentale réalisée avec le RTE, France.
Vislena Martceva - Journal « Delnik »

Quand la fée électricité se mue en demoiselles illuminées 

Quel défi pour un artiste de se retrouver face à face à ces quatre supports pesant chacun 6,8 tonnes et atteignant une hauteur maximale de 34 mètres. Pour mener à bien son travail artistique, Elena Paroucheva a d’abord mené une réflexion approfondie sur l’histoire de la ville, en vue de proposer « une œuvre particulière pour une ville particulière ». 

« La source », le nom donné au projet, est ainsi entrée dans l’histoire de l’art et de l’électricité comme une œuvre unique sur le territoire français.
Delphine PAYAN, « Le Républicain Lorrain »

IHT d’Elena Paroucheva

Aux donneurs et aux chercheurs de lumière, à celui qui est en quête de transformation, les "éléments" d'Elena transposent la trace de l'homme en un moment du partage vers une vision de lumière et d'espace.
Ce que l'homme a fait, l'artiste le transforme. De ces géants immobiles, Elena a su extraire esthétique et grâce en leur donnant une identité et une histoire.
La lumière passe, elle permet l'existence de l'œuvre, la lumière fait vibrer le vide, le vide qui donne existence à la vie."
Dans un voyage de couleur entre entrelacs et câbles, la lumière se découpe, l'image se crée pour tout voyageur qui passe accompagné de son imaginaire, de son désir de découvrir.
Michel Arnault, Président de « Art’Touch »
La ville dans la transition énergétique
RTE remplace des pylônes treillis par des pylônes tubulaires depuis une dizaine d'années. Le minimum d'encombrement au sol et l'invisibilité dans le paysage sont recherchés en attendant un hypothétique enterrement pour les voltages les plus élevés. La fée électricité reste, elle, bien présente dans la vie quotidienne: source de lumière, de chaleur, de confort dans les familles; auxiliaire indispensable de multiples gestes professionnels. Même lorsque l'énergie se renouvelle, c'est très souvent en électricité qu'elle se convertit pour devenir utilisable. Une transition énergétique est nécessaire pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre. La fée électricité y pourvoira.

Comment traduire cette dernière idée en image ? Où trouver un travail artistique contemporain porteur d'un message proche de celui de Raoul Dufy qui a réalisé en 1937 avec "La fée électricité" le plus grand tableau du monde , aujourd’hui exposé au Musée d’art moderne de la Ville de Paris, dans une salle dédiée?
En cherchant l'image de la couverture du numéro 104 de la revue Les Annales de la Recherche Urbaine, intitulé " La ville dans la transition énergétique", j'ai rencontré les personnages-pylônes d'Elena Paroucheva. Au lieu de chercher en vain à se fondre dans le paysage les pylônes s'humanisent, se particularisent, conversent entre eux, se présentent comme ornement, lumière et joie. Cette œuvre exprime l'inquiétude d'une artiste devant la disparition possible d'un élément fondateur de notre civilisation matérielle.

L'expérimentation qui a eu lieu à Amnéville indique un autre traitement possible du rapport pylône-paysage: des pylônes situés,  investis par des projets artistiques singuliers.
Anne QUERRIEN « Les Annales de la Recherche Urbaine »
Les sculptures  d’Elena - présences immatérielles
Filiformes, elles laissent passer le regard en se contentant de découper l'espace.
Lignes et traits, elles ne décrivent pas la matière mais indiquent ce qu'elle pourrait être.
On y retrouve autant l'épure des cathédrales que le réseau électrique, l’une véhiculant  la force de l'idée et l'autre les mégawatts de l'énergie. Présences immatérielles, mais présences indubitables.
Enfin s'impose la métaphore du circuit électronique, plus haut celle du réseau neuronal individuel, et plus haut encore celle des mailles  impalpables qui connectent entre eux  tous les membres d'une société.
Si de telles sculptures font penser à un acrobate, c'est parce que chaque point de connexions des petites tiges de métal fait penser à un acrobate ; et alors, touts ensemble, ils deviennent l'acrobate.
Patrice Grell « ARPAGEM »

Pylônes de haute tension en œuvres d’art

En découvrant la présentation de ce travail, j'ai d'abord été rebuté par le titre. Malgré l'extrême brutalité avec laquelle certains d'entre eux sont implantés, je les aime bien ces pylônes, je les admire depuis l'enfance. Dans leur relative variété, ils disent toujours magnifiquement et triomphalement leur fonction et la manière dont ils la remplissent. Voilà des objets qui « parlent vrai », leur côté triomphant est, selon moi, la vraie raison de leur rejet massif. Transformer ces objets de grande qualité en œuvre d'art? C'est les condamner à l'obsolescence ! Tel un wagonnet de mine chargé de fleurs.

Au fur et à mesure de la lecture, prenant en compte le fait que la technique n'attend pas l'artiste pour condamner ces grands marcheurs en lignes, je trouve cette expérience pleine d'intérêts. Elena Paroucheva rend visible ce que la majorité d'entre nous ne voyait pas ou ne voulait pas voir. Elle a imaginé de toutes pièces une relation d'échange exemplaire avec ses commanditaires. Je ne doute pas que cette expérience participe à une évolution du regard porté par les uns sur les autres. Ce processus qui fonctionne ici sur un principe de recyclage d'un objet en fin de vie pourrait inspirer des collaborations autour d'objets en devenir.

Sur le plan purement plastique, il est remarquable et symbolique que Elena Paroucheva s'est trouvée contrainte, pour matérialiser son idée, de faire des rajouts à l'existant et jamais d'ablation. J'attends avec intérêts la suite de l'histoire.
Bruno Maillard « Design Public »
Les grandes carcasses en robe de bal 
Il faut dire qu’on ne m’avait pas préparé à présumer de ce qu’on pouvait en faire, de ces pylônes tout en ferraille, formidable denrée pour la rouille, piège à hélices et autres objets ULMistes. De si gigantesques perchoirs pour de si petits câbles, tout juste bons à servir de reposoir à des nuées d’oiseaux dans leur long voyage migrateur. Bien sûr l’énergie qui coule le long de ces câbles me permet de réchauffer mon café du matin. Mais quand même! J’aurais préféré que le génie de l’homme nous trouve d’autre méthode pour la faire circuler, cette énergie que l’on dit vitale.
 
Oui ! Honte à moi d’avoir tant méprisé ces témoins de nos ères industrieuses, ces hideux squelettes de la fée électricité. 
Élèna Paroucheva et ses installations sont les preuves vivantes de la capacité de l’espèce humaine d’adapter à son âme les choses que son esprit peu inventif a eu la malencontreuse idée de semer sur son passage et dans nos campagnes, quand ce n’est pas à nos propres portes. Robe de bal ou pluie d’argent, danseuse ou fleur, homme ou femme, les pylônes d’Élèna sont autant de " personnages " aux bras desquels j’ai l’envie irrépressible de parcourir les champs, aux jambes desquelles je voudrais grimper pour aller voir tout là-haut ce qui leur passe par la tête, me faire plus petit encore pour leur chatouiller le dessous des pieds, et d’un rire complice vivre ensemble de grands rêves… Pour moi plus jamais ces grandes carcasses ne seront nues, et j’en voudrais presque à Élèna Paroucheva de les rendre indispensables à mes promenades champêtres, quand longtemps j’ai souhaité l’enfouissement de tous les câbles électriques.
Tout simplement merci, Élèna.
 Dominique Boucher « Art Majeur »

 Quand des pylônes haute tension se préparent à un défilé de haute couture 

Elena ajoute son regarde d’artiste pour habiller des porte - manteaux géants de 7 tonnes et 34m de haut.  Elle met ses talents d’artiste au service de l'architecture :
Elle a pensé donner une valeur ajoutée à ces immenses pylônes des lignes haute tension en les transformant. Des sculptures géantes pour le plaisir des yeux, c'est une idée qui ne peut que plaire et certainement va se multiplier au fil du temps.
Jean-Louis Benoit « Pressadom »
Menhirs, cathédrales et pylônes électriques
Jadis, il y avait à Amnéville-les-thermes, en Moselle, quatre pylônes qui passaient en plein centre de la cité thermale et touristique. Depuis décembre 2003, trônent à leur place quatre géants d'acier encordés, vêtus de longues robes colorées.
Elena Paroucheva, la responsable de cette transformation, est très contente : « Nous sommes tellement habitués à ces structures que nous ne les voyons plus. Un artiste regarde le monde avec un œil différent. Pour moi, les pylônes sont de grands personnages qui se promènent. »
Une vision qu'elle gardait dans un coin de sa tête jusqu'à la lecture, dans la presse, d'un article qui annonçait la disparition des lignes aériennes pour 2035. « Pour moi, ça a été un déclic. Même si depuis, en discutant avec les techniciens de R.T.E., j'ai appris que les lignes aériennes seraient encore présentes longtemps. À  l'époque, en 1998, j'ai donc commencé à faire des maquettes et des dessins. »
Présentant son dossier auprès de R.T.E., Elena retient l'attention des dirigeants du gestionnaire du réseau électrique français. Ses croquis sont transmis aux régions. Quelques mois plus tard, la direction responsable de l'Est la contacte, pour lui parler du cas d'Amnéville-les-Thermes. Cette commune très touristique, site thermal réputé dans l'Europe entière, possède une ligne haute tension très voyante. Impossible à enterrer, cette ligne posait problème. L'artiste propose plusieurs idées, dans le cadre d'un concours pour l'aménagement de cette ligne. C'est l'installation « Source » qui est retenue, un dispositif de haubans – câbles d'aciers enveloppés de gaines de couleurs, qui drapent les pylônes. « Tout a été calculé avec les ingénieurs de R.T.E. Est, qui ont vérifié la prise au vent, le poids et la tension des haubans, afin de s'assurer que cela ne pose aucun problème au pylône. » Éclairés la nuit, les haubans ont une durée de vie égale à celle du pylône.
Elena Paroucheva, heureuse d'avoir pu réaliser ce projet, y voit un message vers le public comme vers les dirigeants d'entreprises.
    « Les structures utilitaires peuvent devenir esthétiques, agréables, pour peu qu'elles soient revues par un artiste. Ce sont les marques de notre temps, au même titre que les menhirs ou les cathédrales, que nous les appréciions ou pas. C'est pourquoi je veux magnifier ce qui est pour moi un symbole de notre époque. »
 Frédéric Tourneur « URBIS »

Les pylônes haute tension en oeuvre d’art

Au lieu d’approvisionner en électricité la ville d’Amnéville Montois par des lignes souterraines, la société française RTE a décidé en 2002 de mettre en valeur les 4 pylônes existants en les transformant en œuvres d’art.
C’est l’artiste Elena Paroucheva, à l’origine du concept d’insertion des pylônes dans l’environnement, qui a fait la conception des 4 pylônes, en collaboration avec RTE. L’idée de base était d’utiliser les pylônes comme des corps, et les habiller avec une robe transparente au travers de laquelle on verrait les contours de la structure métallique. 
La robe est faite avec des câbles d’acier inoxydable recouverts par une membrane (50 mm de diamètre) et des bandes décoratives (70 mm de large) longs de 3 à 6 m pour le corps.
Buitink Technology a réalisé les 4 « robes », s’occupant également des structures d’acier et de l’installation. Comme il était très difficile de tendre les câbles d’acier, Buitink Technology a développé spécialement un système de contrôle du niveau de tension, adapté aux pylônes.
Buitink Technology, Hollande
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